Oria

À marée haute, la mer s’avance le long des méandres de l’Oria jusqu’à atteindre Usurbil.

L’habitat que crée le mélange d’eau douce et salée donne lieu à une étonnante biodiversité qui mérite la peine d’être connue.

L’observatoire du marais de Saria nous permet de découvrir la flore et la faune autochtone, ainsi que les oiseaux qui font une pause dans leur migration vers l’Afrique dans le Biotope protégé de l’Oria.

Descente de l'Oria en kayak

Découvrez les rives de l’Oria sous un autre jour.

Profitez de la marée pour atteindre la mer en passant par Orio en pagayant..

Profession : pêcheur de civelles

L’Oria, la rivière des civelles par excellence.

L’Oria nous permet aussi de découvrir le métier de pêcheur de civelles :
pêcheurs de civelles ou “txitxardinak”, alevins des anguilles.
À partir du XIXe siècle, cette pêche est pratiquée par la plupart des “baserritarras” proches de l’eau, en automne et en hiver et normalement la nuit.
Autrefois, ils portaient des vêtements imprégnés d’huile de lin, pour que l’eau glisse dessus, et se protégeaient la tête avec un béret et un sac de jute.
Un fanal avec deux bougies ou une lampe à carbure était leur système d’éclairage.
L’embarcation typique de l’Oria est l’“ala” ; de 8 à 9 m de long, avec son un fond plat, sa large poupe et sa museau court et pointu, en forme de cuillère, elle peut prendre de front plages et limons.
Au cours des années 70 du siècle dernier, les civelles sont devenues un mets de choix, ce qui a contribué, à côté de la pollution des rivières locales, au fort recul des populations.
Actuellement, de grands efforts sont engagés pour récupérer les populations de civelles dans l’Oria.

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